« Le Continuum du Conflit » : différence entre les versions
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[[Fichier:Patrick-lencioni.jpeg|border|left|100px]]À l'heure actuelle, certains d'entre vous êtes peut-être | [[Fichier:Patrick-lencioni.jpeg|border|left|100px]]À l'heure actuelle, certains d'entre vous êtes peut-être fatigués du culte de Patrick Lencioni, auteur de nombreux livres de management sur la façon de créer des organisations durables et performantes. Je suppose que mon raisonnement tient la route : c'est parce que ce qu'il dit a du sens ! Il y a tellement de critères quantitatifs dans le monde de l'entreprise pour soutirer encore plus de performance des personnes, des machines et des technologies. Lencioni postule que même les organisations et les entreprises les plus performantes au monde ne fonctionnent qu'à 60% de leur potentiel réel. Les 40% restants se situent du côté qualitatif du revers de la médaille et sont apparemment plus difficiles à mesurer selon les termes traditionnels de l'entreprise, de sorte que la plupart des leaders et dirigeants se concentrent davantage sur l’aspect quantitatif du compte de résultat.<br/> | ||
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Version du 12 septembre 2018 à 08:40
Auteur : Steve Marshall
Source : The Conflict Continuum
Date : 18/03/2016
Traducteur : Fabrice Aimetti
Date : 12/09/2018

À l'heure actuelle, certains d'entre vous êtes peut-être fatigués du culte de Patrick Lencioni, auteur de nombreux livres de management sur la façon de créer des organisations durables et performantes. Je suppose que mon raisonnement tient la route : c'est parce que ce qu'il dit a du sens ! Il y a tellement de critères quantitatifs dans le monde de l'entreprise pour soutirer encore plus de performance des personnes, des machines et des technologies. Lencioni postule que même les organisations et les entreprises les plus performantes au monde ne fonctionnent qu'à 60% de leur potentiel réel. Les 40% restants se situent du côté qualitatif du revers de la médaille et sont apparemment plus difficiles à mesurer selon les termes traditionnels de l'entreprise, de sorte que la plupart des leaders et dirigeants se concentrent davantage sur l’aspect quantitatif du compte de résultat.